Bonne décision d'Hydro-Québec

[Tania Kirouac Lafontaine]

Il y a quelques années notre fournisseur d’électricité a pris une grande décision. Hydro-Québec a renoncé au pétrole. C’est pourquoi, il a vendu à des entreprises privé les réserves d’or noir à l’île d’Anticosti et en Gaspésie. La compagnie Pétrolia, nouveau détenteur depuis 2007 , on dévoiler des chiffres spectaculaire. Selon leur rapport , exploiter ce gisement générer des revenus de 135 G$ à 629 G$. Le pétrole présent au Québec pourrais assuré l’approvisionnement énergique de la province pour au moins vingt ans.

Sous le regard de ses chiffres , le parti Québécois a tenté de savoir qui a autorisé Hydro-Québec a vendre leur part. Le Premier ministre Jean Charest affirme que les contribuables ne prendrons aucun risque dans une industrie avec un taux de risque très haut. La ministre des Ressources naturelles de la Faune, Nathalie Normandeau souligne que le Québec ne peut se permettre les coûts élever de l’exploitation de pétrole alors qu’elle ne donne pas toujours les résultats attendus. Par contre , Pétrolia est encore a la rechercher d’une centaine de million de dollar pour continue ses exploration et déterminer si finalement il y aura exploitation.

Pour ma part, je suis en parfaite accord avec la décision d’Hydro-Québec. Comme mentionner précédemment, cette industrie est très dangereuse. Nous avons connue dernièrement un déversement de pétrole qui un conséquence direct sur l’écosystème. De plus, Nathalie Normandeau ajoute que Hydro-Québec recevra des redevances si la compagnie décide d’exploité, par contre les valeur n’ont pas été dévoilé. Notre méthode d’hydroélectricité convient suffisamment et pollue beaucoup moins que l’or noir.

Mon article entre dans le thème environnement ,étant donnée que parle de ressource naturel. Comme sous-thème le développement durable serait approprié car le pétrole n’en fait pas partie.

Source :
http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2011/02/20110215-152952.html , Québec ne regrette pas l'abandon du pétrole ,[en ligne] (Consulté le 15 janvier 2011)