La langue, un débat sans fin

[Charlie D.Poitras]

La langue, un débat sans fin

Mes parents m’ont toujours dit que la langue française est en perpétuel danger au Québec. Comme le démontre l’article de Louise Leduc dans Cyberpresse « La langue, un débat sans fin », les francophones se sentent toujours menacés par les anglophones, mais maintenant six sur dix Québécois ont peur du multiculturalisme.


Pour commencer, je suis d’accord avec les 90 % des Québécois qui estiment que la loi 101 est une nécessité au Québec, car nous sommes trop accommodants et ne protégeons pas assez notre langue. Aussi 84 % sont plus ouverts et jugent important d’être bilingues, contrairement aux anglophones du Canada qui ne veulent rien savoir du français. De plus, avec les 53 % qui affirment que la langue française s’est détériorée depuis 10 ans, on a juste à regarder les affichages des commerces, les publicités et aussi les produits sur les tablettes des magasins qui sont placés sur le côté anglais.

Également, je pense aussi comme les personnes de 55 ans et plus qui sont persuadées que la langue française est en péril à cause des immigrants, étant donné les cultures différentes et non connues, donc ce que nous ne connaissons pas donne la peur. D’après l’article, ce qui est sûr, c’est qu’à Montréal, il y a de moins en moins d’anglophones et de plus en plus d’immigrants.


Finalement, la peur de perdre notre langue et notre identité traverse les générations et les propos de cet article reflètent le thème « Population » par la langue française qui est menacée, soit par les anglophones ou le multiculturalisme.


Louise, LEDUC, « La langue, un débat sans fin », [en ligne], Cyberpresse, publié le 14 février 2011 (consulté le 14 février 2011).

Charlie Desrosiers Poitras